Alexandre-Pierre-François Boëly fut un compositeur d’une grande érudition : il suffit d’observer avec quelle science il réutilise des oeuvres du passé pour faire naître un nouveau corpus. Qui, à l’exception de Boëly, dans le Paris de la première moitié du 19e siècle s’aventurait à jouer Frescobaldi, Bach ou Couperin ? L’orgue Boillot / Verschneider est le narrateur fidèle de cette ambivalence
entre le monde baroque, polyphonique, et la langue de Boëly qui sait également...
Alexandre-Pierre-François Boëly fut un compositeur d’une grande érudition : il suffit d’observer avec quelle science il réutilise des oeuvres du passé pour faire naître un nouveau corpus. Qui, à l’exception de Boëly, dans le Paris de la première moitié du 19e siècle s’aventurait à jouer Frescobaldi, Bach ou Couperin ? L’orgue Boillot / Verschneider est le narrateur fidèle de cette ambivalence
entre le monde baroque, polyphonique, et la langue de Boëly qui sait également être proche de Beethoven, Mendelssohn et Chopin.