Difficile de s'attaquer au Caligula d'Albert Camus sans une certaine angoisse ; il y a certes le souvenir toujours prégnant de Gérard Philipe à la création du rôle mais on peut toujours espérer immodestement que d'autres choses sont à trouver 50 ans après la première de la pièce.
Non, les interrogations viennent plutôt de la richesse même du texte. Il faut garder la beauté de la langue de Camus, le lyrisme presque romantique du personnage-titre, la drôlerie de la pièce mais sans jamais dévier d'un objectif : Caligula nécessite de prendre parti.
Difficile de s'attaquer au Caligula d'Albert Camus sans une certaine angoisse ; il y a certes le souvenir toujours prégnant de Gérard Philipe à la création du rôle mais on peut toujours espérer immodestement que d'autres choses sont à trouver 50 ans après la première de la pièce.
Non, les interrogations viennent plutôt de la richesse même du texte. Il faut garder la beauté de la langue de Camus, le lyrisme presque romantique du personnage-titre, la drôlerie de la pièce mais sans jamais dévier d'un objectif : Caligula nécessite de prendre parti.